Liposuccion à Lyon : chirurgie esthétique de la silhouette

Après un interrogatoire approfondi et après avoir écouté vos souhaits, le Docteur Jean-Charles BAYOL, vous examinera pour déterminer la topographie des zones qui devront être traitées et pour apprécier la qualité de votre peau.

Le dossier d’hospitalisation comprendra entre autre, une ordonnance pour le bilan sanguin préopératoire, une ordonnance de traitement homéopathique à débuter 10-15 jours avant l’intervention, et une ordonnance pour l’achat d’un vêtement compressif adapté aux zones qui seront traitées.

Comme pour toute intervention chirurgicale, il est important de réduire, ou mieux, d’arrêter le tabac, 4 à 6 semaines avant l’intervention afin de réduire les problèmes de cicatrisation.

En fonction du nombre de zone à traiter, l’anesthésie pourra être locale, vigile, générale ou péridurale.

Egalement en fonction du nombre de zones à traiter, et donc en fonction de la durée de l’intervention, l’hospitalisation en clinique (Clinique Esthétique Lyon Tête d’Or ou Clinique du Lac près de Chambéry et d’Annecy en Haute-Savoie), pourra se faire en chirurgie ambulatoire avec sortie le jour même ou hospitalisation avec surveillance d’une nuit et sortie le lendemain.

Les principes de l’intervention sont les suivants :

L’intervention doit être réalisée en clinique dans en bloc opératoire.

Les incisions sont petites et discrètes, car le plus souvent cachées dans un pli naturel (figure 2).

Les canules de lipoaspiration vont permettre de réaliser des tunnels au travers de la graisse (figure 3), permettant de ne pas abimer les artères, les veines et les nerfs. Les tunnels profonds sont réalisés avec des canules de 4 et 5 mm pour une liposuccion douce à Lyon. Des tunnels plus superficiels, qui permettre de raffermir la peau, sont réalisés avec des canules de plus petit diamètre (3 mm).

Le volume de graisse retiré doit être adapté à la qualité du revêtement cutané de la zone aspirée, afin d’obtenir un résultat harmonieux.

Le vêtement compressif est mis en place au bloc opératoire après la confection des pansements, à la fin de l’intervention.

Le temps opératoire est très variable puisqu’il dépend du nombre de zone à traiter et de la nécessité éventuelle d’un changement d’installation opératoire. La durée peut aller de 30 minutes à 4 heures.

L’importance des suites opératoire est proportionnelle au volume de graisse retiré.

Dans les jours qui suivent l’intervention, on observe classique un gonflement de la zone opérée (œdème), des bleus et quelques douleurs dont la durée est variable mais qui seront calmées par les antalgiques.

Le vêtement compressif permettra de limiter l’œdème et il devra être conservé pendant 6 semaines.

En cas de lipoaspiration importante, le patient pourra ressentir une certaine fatigue au cours de la première semaine. Une période de convalescence de 2 à 7 jours est nécessaire en fonction de la quantité de graisse aspirée. Le sport pourra être repris au bout de 20 jours.

Le résultat commence à être visible au bout de 4 à 6 semaines, le temps que l’œdème commence à régresser. Il ne sera considéré comme définitif qu’au bout de 6 mois, délai pendant lequel la peau au-dessus de la zone de liposuccion va se rétracter progressivement modifiant ainsi progressivement la silhouette.

Si votre chirurgien prend le temps nécessaire à la réalisation de cette intervention avec de petites canules, afin d’affiner progressivement la silhouette, ces imperfections seront rares. C’est ce que l’on appelle la liposuccion douce.

Cependant, ces imperfections existent et il s’agit soit :

• d’une insuffisance de correction. La correction d’une surcharge de graisse localisée persistante est toujours facilement rattrapable secondairement sous anesthésie locale.
• D’un excès de correction. Cet excès peut entrainer des irrégularités de surface, notamment à la face interne des cuisses où la peau est fine. La correction est plus délicate et peut faire appel à une lipostructure (réinjection de graisse).

Par conséquent, il faut toujours être raisonnable dans la quantité de graisse à aspirer. Le Docteur Jean-Charles BAYOL prend tout son temps lorsqu’il réalise une lipoaspiration douce pour obtenir le meilleur résultat afin que vous soyez pleinement satisfait(e).

La lipoaspiration douce est une intervention chirurgicale qui doit être réalisée au bloc opératoire en clinique (Clinique Esthétique Lyon Tête d’Or et Clinique du Lac à Aix-Les-Bains près de Genève en Suisse). Même si les cicatrices sont minimes et même si le geste peut paraître « simple » de rares complications sont possibles :

Pour les complications de l’anesthésie

l’anesthésiste, au cours de la consultation préopératoire informe le patient des risques. En pratique ces risques sont exceptionnels.

Pour les complications de la chirurgie

en choisissant un bon chirurgien esthétique qualifié, compétent, et sérieux formé à ce type d’intervention, le risque sera considérablement réduit sans toutefois être nul.

Complications non spécifiques de la lipoaspiration :

• Risques thrombo-emboliques (phlébite, embolie pulmonaire) : Le traitement de ces complication est essentiellement préventif et repose sur l’interruption de la contraception orale un mois avant, le port du vêtement de contention, rarement un traitement anticoagulant.
• Saignements : ils sont fréquents et modérés si la lipoaspiration a été importante. Ils sont en général mélangés au sérum physiologique injecté avant l’aspiration et n’ont aucune gravité. En revanche, ils peuvent tacher les draps et une protection du sommier du lit devra être prévue.
• L’épanchement sous cutané de lymphe : il est exceptionnel.
• Les nécroses cutanées, sont également exceptionnelles, elles peuvent prolonger l’évolution cicatricielle.
• L’infection est possible mais rare.
• Modifications de la sensibilité de la peau : En général ces troubles disparaissent dans les semaines qui suivent la liposuccion.
• Des perturbations métaboliques peuvent survenir lorsque le volume de graisse retiré est trop important.

Complications spécifiques de la liposuccion douce :

• Qu’il s’agisse d’une insuffisance ou d’un excès de lipoaspiration, comme nous l’avons vu plus haut, il s’agit plutôt d’imperfections de résultat qui peuvent être corrigées secondairement, simplement sous anesthésie locale.

Il ne faut pas exagérer les aléas de cette intervention, mais avoir à l’esprit qu’une lipoaspiration douce, même apparemment simple, comporte toujours une petite part de risques.

La minutie du chirurgien esthétique et une aspiration de volume raisonnable sont la clé de la réussite de cette intervention chirurgicale.